Les journalistes, éditorialistes, animateurs et bateleurs de métier sont rémunérés comme des pédégés et jouissent de mirobolants congés d'enseignants. Leurs privilèges s'étalent sans vergogne sous nos yeux habitués. L'iniquité est démasquée derrière les visages préservés de la télé.
mardi 20 décembre 2011
Privilèges de Noël
Il y a Noël. Mais pas seulement. Viendra Mardi Gras, puis Pâques. Avant les grandes vacances de juillet/août. Ils sont journalistes, éditorialistes, animateurs, bateleurs de métier. Ils parlent au peuple, le distraient de ses tracas. Que les fêtes soient républicaines ou chrétiennes, ces figures familières désertent l'écran de notre imaginaire. La télé déstocke alors ses florilèges. Les rediffusions font partie des us et coutumes. Elles meublent la vacance de l'antenne.
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