Le corps ne souffre pas l'inconfort. Il est réglé, à la virgule près, pour l'éternité brève d'une sensation. Il est caréné pour la joie brusque qui empourpre ses peaux.
Une chair sans gloire, chassée du paradis de ses étés, mime une méchanceté de déclassé. Ne reste qu'un bec d'oiseau désailé. Le corps songe au temps de paix de son torse bombé. Il est détraqué. Il est embringuée sur la voie patraque d'une destination terraquée.
vendredi 29 juin 2012
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