J'ai hésité avant de griffonner, d'y voir clair dans ma tristesse. Mireille Darc savait caler sa chevelure, se pelotonner contre une épaule d'homme, poser sa cambrure d'adorable grande bringue.
C'était une amoureuse, doucement orgueilleuse. Soudain, on se réveille sans Mireille et son joli dédain. Elle était simple, joueuse, légère. Elle fredonnait ses fredaines. Elle était la fiancée, libre comme l'air, des meilleurs et pires Lautner. Mireille manque. Sa mort interroge, questionne les hommes sur la splendeur d'une féminité.
mercredi 30 août 2017
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