La vérité n’est pas
le problème des figures blêmes. La vérité est la vertu retranchée des sciences
authentiques, de mathématique dureté. C’est un cercle d’initiés, de résistante
pureté. C’est le dernier carré, le seul qui veille au vrai. La géométrie nous
garde de la fausseté d’esprit. L’algèbre nous interdit le mensonge.
L’arithmétique est d’essence civique.
Ce sont les lieux
ultimes, les lieux saints, une sorte de Jérusalem, moteur d’un monde inventeur
d’où s’excluent les menteurs. La corruption ne touche pas l’invention. C’est un campement
d’utopie créatrice, entouré d’un immense désert d’institutions corruptibles, de
démons et de contrefaçons. C’est un sanctuaire sur la terre qui protège un
sauveur.
Jusqu’à quand ? La vérité n’est qu’une feuille d’octobre qui a fait son temps. Elle jonchera le sol, face au ciel. Les mensonges se ramassent à la pelle. Les jardiniers ratissent des querelles. La vérité n’est pas le problème des figures blêmes.
Jusqu’à quand ? La vérité n’est qu’une feuille d’octobre qui a fait son temps. Elle jonchera le sol, face au ciel. Les mensonges se ramassent à la pelle. Les jardiniers ratissent des querelles. La vérité n’est pas le problème des figures blêmes.
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