Hollan : « Manu, tu fais quoi avec les sans-dents ? »
Macro : « Je stoppe le curatif. On balance
un pognon de dingue pour une bande de fainéants qui ne s’en sortent même pas.
On se fait du mal avec les illettrés. Infoutus de se responsabiliser. Il faut
arrêter de se complaire dans l’émotif. Oui, on supprime le curatif. Y en a qui
ont des problèmes métaphysiques ? »
Sarko : « A tout blaireau sans thune, moi
je dis : « casse-toi pauv’ con ! » Oui, pour que la France reste
la France, faut que les riches restent, s’en aillent pas, mais faut que les pauvres
se cassent vite fait. »
Pompido : « Arrêtez d’emmerder les Français
avec des mesures édouard-philippardes. La bagnole est l’avenir de l’homme. A 80
à l’heure, on s’endort sur le moteur. Faut couper les pots d’échappement. C’est
comme ça qu’ on rattrapera les Allemands. »
Charles de : « La réforme, oui ! La
chienlit, non ! »
Macro : « C’est vrai. J’aime quand il
parle, Charles. Les cheminots, ça traîne. On vire quand, Pépy ? »
Phil : « Tu n’y penses pas. Il a fait
l’Ena, comme moi, comme toi, comme le renouveau Bruno. Il est Conseil d’Etat,
comme moi. Pas possible. La révolution, oui. Le sabordage des grands corps,
non. Arrête ta déconnade ! »
Hollan : « Faut accueillir les migrants
avec empathie. Faut s’occuper des migrants plutôt que perdre son argent avec
les sans-dents. Les sans-dents votent pas ou votent facho. »
Macro : « Tu déconnes pépère ! Les
migrants ne sont pas des marcheurs. Ils flottent vers la Sicile. L’Italie sait
les recycler. La mafia leur trouve de bons emplois. On a toujours besoin
d’esclaves au noir. »
L’Auvergnat : « Les humanitaires n’ont pas
le monopole du cœur ! »
Macro : « La séance est levée. Non, j’ai
dit : « élevée ». Comme la CSG. Je dissous les pauvres
aujourd’hui à midi. J’ai bien supprimé les SDF à Paris, à Noël dernier. Les
gueux souillaient les trottoirs. Et ça, c’est de la poudre de perlimpinpin,
peut-être ? Moi, je veux rentrer dans l’Histoire. Rompez ! »
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