Car la faillite des Bleus nécessite l'urgence du rouge. Désormais, on laisse l'azur aux grands ciels d'été, les mots bleus aux voyous des vestiaires, la bleusaille à sa grisaille.
On pare au plus pressé. On bâtit l'équipe avec du rouge. Rouge désir de mouiller le maillot. Rouge désir de réhabiliter le plaisir du jeu. Rouge désir de mettre le feu. Qui mieux que Blanc peut convertir le Bleu en Rouge ? Allez les Rouges !
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