Ce sont des années noires. Les morts sont épinglés au revers des saisons. Ils sont enterrés dans ma tête. Ils vivent comme des lucioles dans un ciel provisoire. Ils brillent d'amour.
Les morts séjournent en plein front, derrière la porte, face au mur et ses deux yeux. Dans la chair la plus vivante est gravée la joie du visage, le dernier petit sourire d'une morte.
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