Ainsi l'Etat s'en donne à coeur joie. Il le taxe à qui mieux mieux, le ponctionne sans vergogne comme on humilie une tête de Turc. Il sait qu'il convient de le gruger vivant car sa durée de vie est limitée, se situe en-deçà de la moyenne.
Un fumeur mort dans la force de l'âge rapporte gros. Pas de retraite à verser, pas de frais médicaux d'une longue vieillesse. La collectivité nationale économise sur le dos du clopeur impénitent. Le fumeur qui achète cher son poison est une affaire en or pour un Etat à morale suspecte.
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