L'aréopage de pétitionnaires d'impôts nouveaux est libre de verser une obole en prime, un super bonus au budget de l'Etat. Ces dames patronnesses de la grande entreprise soignent leur bonne conscience à leur fantaisie. En revanche, on s'étonne qu'elles s'expriment au nom d'un collectif de "riches", moins fortunés par le sort. Les revenus des "petits riches", des "riches d'en bas" sont déjà ponctionnés à qui mieux mieux. Leur sens de la solidarité est sollicité à l'excès.
Cet amalgame entre gens aisés et nantis sème la confusion dans les esprits. L'économie du pays mérite mieux que ces exercices de contrition d'une rare démagogie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire