Un chef de bande
chevauche les plates-bandes. Il chemine à travers les rêveries du pays. La
randonnée est son support de pensée. Jésus arpente la Galilée. Mao s’échine à
pied. Il marche longuement. La promenade de sainteté légitime l’autorité. Macron
sait la leçon. Il chausse ses godillots. Il débloque le mode veille de son
aillepad. Le raid de bipède va se poursuivre de bled en bled. L’ange de Bercy
apporte la bonne nouvelle à Saint-Denis.
Il ressemble à
Boris Vian, plus petit mais rieur comme un gagneur, sans mélancolie slave mais déserteur à sa manière. Boxeur sans
poings - ni droite, ni gauche -, il ne prend pas de gants. Il crache sur nos
tombes.
Macron marche, pas tout à fait au hasard, direction le marché. Il marche, marchande en passant. Il séduit les beaux quartiers. Il enseigne la bonne volonté aux ouvriers qu’il trouve illettrés. Il a dénoué sa cravate sans pour autant se dépoitrailler. C’est un nouveau philosophe – Ricoeur sur le CV – qui demande à Béachel d’aller se rhabiller. En cas de panne, sa hotline s’appelle Attali.
Macron marche, pas tout à fait au hasard, direction le marché. Il marche, marchande en passant. Il séduit les beaux quartiers. Il enseigne la bonne volonté aux ouvriers qu’il trouve illettrés. Il a dénoué sa cravate sans pour autant se dépoitrailler. C’est un nouveau philosophe – Ricoeur sur le CV – qui demande à Béachel d’aller se rhabiller. En cas de panne, sa hotline s’appelle Attali.
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