Car la panne de croissance dope les accents dirigistes du discours politique. L'Etat a décidé de confisquer le thème des usines, réputées jadis polluantes, à contre-courant des lendemains qui chantent de l'économie immatérielle, à rebours des slogans incantatoires de la révolution numérique.
Question pour demeurer champion: Va-t-on subventionner l'industrie sur le décalque du modèle agricole ? A quand la fixation de prix administrés au sortir des usines ?
Dès le début de la crise économique, on a observé le retour fracassant de Keynes dans la conduite politique des nations libérales. Aujourd'hui, le président Sarkozy met les bouchées doubles. A son souhait de refonder le capitalisme, il ajoute un retour à l'étatisation rampante du secteur industriel. On connaissait le marxisme tendance Groucho. Voici venu le temps d'un drôle de marxisme tendance Sarko.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire