mardi 1 juillet 2014

La débandade des proies

La sueur révèle le pot aux roses de la terreur. Les joueurs ont peur. Ils courent, une heure, deux heures. Derrière un ballon de couleur.
Ce spectacle de tacles exprime la débandade des proies. Les banderoles des sacrificateurs de stade communiquent l'état civil des prédateurs. Les Nègres du Nigeria ont été mangés in extremis, au bord du précipice. On entend des chants de supporters. On entend Deschamps dans les vestiaires.

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