Nicolas, plein de hargne, traite l'affable François de "menteur". Soir et matin. Il oublie la cuillerée de midi. François, très colère, taxe le taquin Nicolas de "falsificateur". Bref, on en reste aux idées minces de l'âge des culottes courtes.
Je vois mal la "France forte" dans des chamailles de pareille sorte. "Le changement, c'est maintenant" ? Je crains que non. Briguent-ils l'Elysée ou le leadership de la récré ? Jeux de mains, jeux de vilains: rien de nouveau sous le soleil politicien.
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