vendredi 24 juin 2011

Galliano

"Pour fabriquer de l'émotion, un homme doit conclure un contrat de travail avec la folie". Christian Dior parle boutique. La couture fixe des vertiges. Le style côtoie l'abîme. C'est un métier cousu de fil blanc. Galliano débloque comme Céline éructe. Il se fourvoie à côté de ses oeuvres. Galliano ne se confie qu'aux stupéfiants. Il récite un chapelet d'insanités à la figure de la première venue. Il déconne grave. Opium, faute de podiums. L'accoutumance à la beauté signe ses forfaits illimités. Dior l'a dédouané d'avance.

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