Si je suis président, je fais de l'éducation nationale la priorité des priorités. Se souvenir au passage du mot de Lincoln: "Si vous trouvez que l'éducation coûte cher, essayez l'ignorance !".
Si je suis président, je supprime les régimes spéciaux et privilèges exorbitants - en matière fiscale et de retraites - dont jouissent les catégories professionnelles à forte visibilité sociale: parlementaires, journalistes, fonctionnaires. Car il en va de l'équité républicaine et de l'exemplarité politique.
Si je suis président, et dans le même esprit, je prends soin de ne pas décourager le secteur privé dont les initiatives sont les principales créations de richesses de la nation.
A vrai dire, "si je suis président", est une hypothèse de travail, entendue à plusieurs reprises dans la bouche des papabile des primaires socialistes. Mimétisme citoyen de l'électeur lambda, "si je suis président" est un acte, un tract de démocratie participative.
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