Le feuilleton DSK étiré ou la série Bettencourt réactivée comblent un désert d'imaginaire. On est englué dans ces récits d'été, à mille rebondissements. On se fout de Nafissatou, on se moque des frasques de Dominique, on se fiche des liasses de Liliane comme d'une guigne. On s'en tamponne le coquillard.
Ces chroniques poisseuses collent à l'opinion comme des chewing-gums. On se baigne dans une mer huileuse d'informations bidons, pleine de méduses visqueuses. Au large, le monde est à feu et à sang.
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