jeudi 15 mai 2014

Cher Gabriel

Les agissements de l'agessa sont d'odieux tourments. L'insécurité sociale règne en toute iniquité. L'anonyme Etat mime le grondement d'une grosse Bertha. Il tire dans le tas, coupe le gaz, débranche les petits gars, active la fin de moi.
Je veux vous dire mon amitié, ma révolte. Vos écrits sont des coups de griffe sur la joue des académies. Jusqu'à ma dernière cécité, je me décoifferai devant la beauté. Ex imo.

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