Dans
les regards mutiques, dans les
corps dressés vers le firmament, scrutateurs silencieux de la mauvaiseté du
sort, on lit l’éblouissement des hommes d’aujourd’hui devant leurs frères de
génie, ces artisans d’hier aux beautés indépassées.
Foule
bigarrée, nous sommes au garde-à-vous devant la cathédrale. Aucun maréchal, à
masque martial, ne nous passe en
revue.
L’ecclésiale
fixité des silhouettes est une prière muette. Le feu ravage l’église de Pierre.
Nous sommes pétrifiés. Les braves du feu s’activent, se carapatent, multiplient
les exercices d’acrobate. Ils parent au plus pressé, sauvent les trésors d’une
cité.
Les figures de Marthe et Marie allégorisent l’incendie de Paris. La foule immobile, dans sa vacance fervente, s’appelle Marie. « Elle a choisi la meilleure part : elle ne lui sera pas enlevée ». C’est le texte de Luc qui le dit.
Les figures de Marthe et Marie allégorisent l’incendie de Paris. La foule immobile, dans sa vacance fervente, s’appelle Marie. « Elle a choisi la meilleure part : elle ne lui sera pas enlevée ». C’est le texte de Luc qui le dit.
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