jeudi 23 octobre 2008

Monsieur Bassaque

La littérature est une figure de la félicité. J'ai aimé le chant de la langue française dans le regard de Monsieur Bassaque. Visage creusé, mal rasé. Onze ans, cinquième. L'image du doux instituteur ne s'est pas défraîchie au fil des décennies. Sans crier gare, elle surgit aujourd'hui. 

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