La grisaille du constat a déteint sur les candidats. Les couleurs vives d'un prochain été sont remisées au grenier. Les discoureurs n'éveillent aucune espérance. Cette élection est la saison morte d'une quelconque séduction. Les matins blêmes de la campagne sont sans lendemain. Dans la pâleur des projets, on peine à discerner une ferveur. Ségolène nous manque comme une lumière de scène.
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