mardi 25 mai 2021

Epatant

Carlito est le mari de Carlita. Il est genré pour ça. Que nenni. Carlito n’est pas l’amant de Carla mais l’ami de Macro. Ils crachent dans le même micro. Le près-Zident est près des gens. Proche des plus que gens, proches des jeunes. Le présijeune n’attend pas l’automne pour sortir du tunnel, revoir les beaux jours, montrer ses dents de requin, sourire au destin. L’Elysée jouxte la rue du Cirque. La rue des clowns et des actrices. Son nez tourne. Le nez de Macro bouge quand il ment, le bougre. Carlito fait des roulades dans le parc. Il en profite, les salles de sport sont toujours fermées. Brigitte boude la cérémonie, n’aime pas la fantaisie. Macro l’Intello joue à l’idiot, au crétin des Pyrénées, influencé par le grand aîné du Modem, supprime l’Ena, copine avec les cancres des petits bachots et des blagues d’illettrés. Macro n’est ni fier, ni franc, ni français du collier. Macro, on dirait Jean d’O qui s’encanaille avec la plèbe, les sots du Web. Converse radieux de Dieu, de soi et d’entre soi. Macro sort bientôt du Château, de son colloque intime avec Jean d’O. Il publie la suite de ses Mémoires castristes, « Révolution II ». L’ouvrage évoque Zavatta, le vaccin de l’au-delà, Castex, l’extra-terrestre dont il apprécie les phrases à terroir, Benalla et son revoilà de maréchal, pugiliste oublié du début de quinquennat. Et plein d’autres choses. Bonnes feuilles en exclusivité dans le Gît Dédé. Epatant.

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