La légèreté d'une fin d'été, l'apesanteur des dernières heures, la simple joie des jours, l'émerveillement d'un regard lent, la prière d'une vieillesse que rien ni Dieu ne presse.
C'est la liberté d'une femme de foi. Elle sourit à la vie. Les bonjours sont des fêtes de l'espoir. Dans sa nudité de peau, le temps déploie son torse. Il trimbale devant soi la vacuité d'un roi.
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