Elle n'a jamais vécu que dans mon imagination. Elle devait s'appeler Clélia. Son sort est subordonné à ma propre mort. Les créatures de rêve sont par nature dispensées de sépulture.
Cette fille des vents n'a émergé du néant que pour fixer mes tourments. Les deux syllabes de son identité définissent son exacte féminité. Avec Clelia Trotti, Bassani m'a chipé ma chipie.
vendredi 17 août 2012
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