mardi 22 avril 2014

Cinq cent pages

J'avais besoin d'un coup de main. Flaubert m'accueille en son dernier missel. Son aventure épistolaire capotera dans cinq cent pages.
Je me cramponne au bastingage. J'empoigne le parapet de ses bavardages. Je suis emmailloté d'une bouée. Je suivrai le fleuve jusqu'à sa lettre à Tourguéniev. Le Russe est son terminus.
Après quoi, l'écho d'une sonnerie. Après la vie, le vide. Il aurait péri au milieu de ses manuscrits.

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