mercredi 12 novembre 2008

Sardaigne

Je songe aux citronniers de Pula et au dancing de la Marquise. En vain, comme un écrivain. Je revois la maison de joie de Sinistria. Nous enfourchons le dos tiède d'une vague affectueuse. Je revois ton chignon noir dans l'ovale d'un fichu de paysanne. Tu reposes sur ma joue, le derrière en bataille.

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