jeudi 11 août 2011

Bouclier vivant

Sarkozy aime la crise. Les socialistes moins. Car quoi promettre ? S'entêter à s'endetter ? Saigner l'électeur de ravageurs impôts ?.
Sarkozy se complaît dans le scénario de l'urgence qui justifie à plein sa fébrilité pathologique. L'urgence ravaude l'agitation en vertu de circonstances. Sarkozy s'offre en bouclier vivant du krach financier. Dans le même temps, les socialistes musardent à la plage. A l'exception de Ségolène Royal, au dévouement exemplaire, qui garde la maison, qui squatte Solférino en l'absence de ses propriétaires bobos.

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