Sarkozy se complaît dans le scénario de l'urgence qui justifie à plein sa fébrilité pathologique. L'urgence ravaude l'agitation en vertu de circonstances. Sarkozy s'offre en bouclier vivant du krach financier. Dans le même temps, les socialistes musardent à la plage. A l'exception de Ségolène Royal, au dévouement exemplaire, qui garde la maison, qui squatte Solférino en l'absence de ses propriétaires bobos.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire