Ailleurs que dans ma tête, les biens sont contingentés. Je suis cerné par les limites. Je me blesse aux encoignures de la nature. Je me heurte à l'étroite matière. Je vivote dans un couloir, un corridor, un réduit où mes genoux ne cessent de saigner. Il n'y a que dans ma tête que se dématérialisent les jambes de plomb des fortunes mal acquises. L'homme est un oiseau qui vole en son for intérieur.
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