Ces fléaux à lasso se répandent dans les maisons comme une rumeur, un tourbillon, une force d'occupation. Ils bougent quand on les touche. Le corps abdique, se soumet aux parasites à cliquetis. Il s'abandonne au bidule, cède à ses clics.
Les machines rient, s'expriment à l'envi selon leur fantaisie. Elles briguent plus d'un quart d'heure de célébrité. Elles confisquent le temps du corps mutant.
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