Nous méditons notre forfait. L'idée s'impose de nous débarrasser du mont-de-piété des marchés. Nous sommes dans un sale état. Endettés jusqu'au cou. On prend l'oseille et on tire des chèques sur le soleil. On nationalise à l'échelle du monde. On s'approprie les milliards.
Sans autre crime que l'effacement du paysage du dernier prêteur à gages. Sans autre châtiment que la perte à jamais du satanique "triple A".
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