Hollande sort en tête du virage. Sans forcer la cadence. Il aborde en confiance la dernière ligne droite. Le teigneux Sarkozy lui mordille les basques. Dans un style peu académique, il se déhanche à la Zatopek, se bat comme un beau diable. Hollande est dans son couloir comme dans l'isoloir, en quête de victoire. Commence l'emballage du sprint final.
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