J'ai trouvé ma place pour écrire. Je la cherche pour reproduire, dessiner, ébaucher un sourire. La musique m'en déloge. M'en fait voir de toutes les couleurs. Je rougeois dans ma loi.
Ses exils sont ses domiciles. La musique se rit, s'amuse de bouts d'espièglerie. La musique est nomade et guérit les malades.
L'ordinateur placarde la trogne lunaire de Richter. Le temps claque entre ses doigts. Sviatoslav s'approprie l'esprit virtuose d'une bourrasque. Bach a planté dans l'espace son entêtante absence.
lundi 3 décembre 2012
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