mercredi 7 novembre 2012

Noir et blanc

Il est blanc comme un linge. Il bredouille un volontarisme étriqué. Il serre ses petits poings pour illustrer  un modeste dessein. Ayrault prend mal la lumière, "ré-enchante le rêve français" de curieuse manière.
C'est un éteignoir d'espoir qui ne provoque pas de hourrah avec sa TVA.
Il est noir comme un basketteur de NBA. Il n'a pas peur d'être une star. Il plaît aux nababs d'Hollywood. Il trimbale un physique de victoire. L'Amérique veut le croire, a besoin de belles histoires.
Obama gagne haut la main. Ayrault perd ses moyens. La télévision départage les deux gladiateurs. La morale du vainqueur est celle du Vingt Heures.

Aucun commentaire: