Fillon a patienté dans le froid. Il a poireauté une heure sur le trottoir avant d'entrer dans l'isoloir. Il n'est pas sûr qu'il en soit ressorti. Car rien ne ressort de ce scrutin de maffiosi. Omerta sur les résultats.
Les bulletins tombent du ciel, se ramassent à la pelle. Comme des feuilles mortes. Aux couleurs fauves de l'automne. Aux couleurs de fraude de petits hommes.
La démocratie de parti est une fille publique, la traînée des cités qu'on viole à sa fantaisie. Copé sourit, un peu blafard, toujours bavard. La droite est décomplexée, voire même dévergondée.
lundi 19 novembre 2012
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire