Mireille Darc est née un 15 mai.
Depuis trois ans, l’espiègle sauterelle manque à l’appel. J’ai hésité avant de
griffonner, d’y voir clair dans ma tristesse.
« Mireille savait caler sa chevelure, se pelotonner contre une épaule d’homme, poser sa cambrure d’adorable grande bringue. C’était une amoureuse, doucement orgueilleuse. Soudain, on se réveille sans Mireille et son joli dédain. Elle était simple, joueuse, légère. Elle fredonnait ses fredaines. Elle était la fiancée, libre comme l’air, des meilleurs et pires Lautner. Sa mort interroge, questionne les hommes sur la splendeur de la féminité. »
« Mireille savait caler sa chevelure, se pelotonner contre une épaule d’homme, poser sa cambrure d’adorable grande bringue. C’était une amoureuse, doucement orgueilleuse. Soudain, on se réveille sans Mireille et son joli dédain. Elle était simple, joueuse, légère. Elle fredonnait ses fredaines. Elle était la fiancée, libre comme l’air, des meilleurs et pires Lautner. Sa mort interroge, questionne les hommes sur la splendeur de la féminité. »
Ce texte est extrait de « Dancing de la
marquise » (5 Sens Editions, 2020, page 32). L’ouvrage est disponible à l’adresse
suivante :
https://catalogue.5senseditions.ch/fr/belles-plumes/322-dancing-de-la-marquise.html
https://catalogue.5senseditions.ch/fr/belles-plumes/322-dancing-de-la-marquise.html
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