Dans le désarroi du "je suis fichu" présidentiel, c'est la mise en scène du moi qui gêne. La crise de la dette impose la diète des ego. Que Sarkozy soit fichu, groggy, KO debout, on s'en tamponne le coquillard.
Par contre, le destin du pays intéresse autrement. Dégradé, le pays est-il pour autant fichu ? C'est la seule question qui vaille.
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