Sarkozy dispose d'un chef de parti un peu trop poli. Copé n'est pas son meilleur copain. Copé colle à son sourire fourbe de traître idéal. C'est le pire adversaire de Sarkozy.
A longueur de journées, à chacune des tournées, Hollande serre des mains. Il réenchante le rêve d'un mouvement de poignet. La foule se lasse un peu de ses yeux de hibou. Joly et Mélenchon jouent aux fléchettes sur ses premières affichettes de campagne. Bayrou amorce son troisième tour de piste en vieux briscard, doyen du scrutin. On connaît sa musique.
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