L'Europe est l'otage de la Chine. Les cigales du "petit cap asiatique" (Paul Valéry) vivent grand train des créances de l'empire communiste.
De Gaulle, réveille-toi, ils sont devenus fous ! Mais la mondialisation des déficits se moque éperdument du visionnaire général et de son indépendance nationale.
Guérini, le malappris, empoisonne la morale des pieux socialistes. La Chine fournit la trésorerie du capitalisme. Monde manichéen où le diable tire son épingle du jeu. A ses risques et périls, le Bien mange dans la main du Mal.
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