Obama ressemble à Julien Clerc. Il jongle avec les mots et les micros. Il est policé, métissé, racé. Il est l'image rêvée d'une société.
Romney colle à l'Amérique étriquée. Il ravale l'intelligence au niveau du bon sens. Il trimbale ses valeurs provinciales dans une carrure conforme de banal cowboy.
Obama agace par excès de dignité. Romney plaît par défaut d'intellectualité. Au pays de l'extrême pauvreté, Romney débusque Obama de sa posture de "sainteté", de Nobel de la paix. La bataille d'isoloir se joue dans un mouchoir.
jeudi 25 octobre 2012
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